~ Interview de la créatrice de « 36 rue Félix », la marque de jupes en Wax qui subliment la silhouette de la femme ~

~ Interview de la créatrice de « 36 rue Félix », la marque de jupes en Wax qui subliment la silhouette de la femme ~

Un de mes derniers coups de cœur créateur, rencontré lors d’un atelier entrepreneure : la marque « 36 rue Félix ». Elle propose un produit unique : la jupe en wax déclinée en 3 coupes qui subliment la silhouette féminine (je peux le dire, je les ai toutes essayées mais les looks seront dans un prochain article, je n’ai pas eu le temps de me shooter lors de cet interview éclair chez la créatrice).

  • Laure, la jupe crayon intemporel, à porter au bureau pour un look de working girl moderne qui assume les imprimés forts
  • Lou, la jupe midi
  • Bel, la jupe patineuse qu’on aime faire tourner à l’infini

J’ai un faible pour la jupe midi dont la coupe donne une silhouette un peu rétro à la « Mad Men » je trouve. Mais mon cœur balance avec le modèle jupe crayon également ! Et je rêve d’une « Bel » taille enfant pour être assortie à ma petite princesse !

Mon échange avec la créatrice m’a permis d’en savoir un peu plus sur la marque et ses origines. Tout a commencé lors d’un voyage « retour aux sources » de la créatrice originaire du Congo. Le nom de la marque vient d’ailleurs de la rue dans laquelle se situe la maison familiale au 36 rue Félix !

Son idée est de moderniser le tissu wax, tissu africain par excellence par des imprimés modernes et de qualité qu’elle chine avec soin (pas de mauvaise surprise au lavage par exemple) et de mettre en avant la femme par des coupes flatteuses non traditionnelles. Ainsi, 36 rue Félix parle d’une femme qui s’assume, avec de imprimés forts, une silhouette casual ou working girl. Et je peux vous dire que lorsqu’on porte une de ces jupes, ça en jette ! Talons ou à plat (c’est super mignon avec des baskets blanches), tout est possible ! L’atelier de confection est à Paris et chaque jupe est minutieusement contrôlée pour s’assurer d’une qualité constante.

Les prix sont autour de 50-70 euros, autant dire accessibles pour un objet de cette qualité !

Une soirée de lancement aura lieu le mercredi 4 juillet à la Bellevilloise à partir de 18h alors n’hésitez pas à aller à la rencontre de cette super marque !!!

~ Une bien jolie découverte : les bijoux Boks & Baum ~

~ Une bien jolie découverte : les bijoux Boks & Baum ~

Lors d’une des journée au « Shopstyle Sanctuary » pendant la Paris Fashion Week, le mois dernier,  j’ai rencontré Bulle qui m’a présenté les bijoux Boks & Baum et cela a été un véritable coup de cœur ! J’ai été fasciné par le superbe travail de la créatrice, Sylvie qui mêle un minutieux travail de crochet et des pierres semi-précieuses.

Les colliers sont de véritables parures. Porté sur un look minimaliste (par exemple un top blanc et un jean slim), ils font le look à eux seuls !

Les manchettes ne sont pas en reste. Faciles à ranger car elles peuvent se remettre à plat, elles s’adaptent à toutes les tailles de poignets (très important pour moi et mon poignet trop fin !)

Cette manchette va avec tout et éclaire n’importe quelle tenue.

La créatrice est française mais vit actuellement au Mexique où elle puise son inspiration. Elle a gentiment accepté de répondre à quelques questions.

Merci Sylvie d’avoir accepté cette interview.

Peux-tu nous parler de ton parcours ?

Avec grand plaisir!

J’ai toujours été passionnée de mode et d’art déco. J’ai débuté mon parcours de créatrice dans les années 80 à Paris, dans le Marais. J’avais ouvert une boutique/atelier de conception de tricots sur mesure « Côte à Côte ». Ça a été un grand succès, à tel point que je participais à l’émission «  Surtout le matin » sur TF1 dans laquelle j‘enseignais les secrets de la maille aux vedettes de la chanson ou de l’écran de l’époque !!

J’ai ensuite été vivre en Afrique du Sud puis au Brésil. J’y ressentais l’envie de porter des pièces fantaisies, des accessoires colorés et surprenants , mais je suis allergique à tous les métaux ! J’ai cherché une méthode pour faire des pièces sans métal sur la peau et j’ai donc pensé à crocheter une chaine. C’est ma grand mère qui m’a appris le crochet !
J’ai trouvé que le résultat rendait vraiment bien et j’ai donc développé cette technique, puis j’y ai ajouté des pierres semi-précieuses, qui sont ultra présentes au Brésil.
Finalement c’est en m’installant à Mexico que j’ai crée ma marque et y ai ouvert mon atelier.

 

Depuis combien de temps crées-tu des bijoux ? D’où vient le nom de la marque ?

J’ai crée mon premier modèle au crochet en 2005, l’Amandine. A l’époque, rien ne ressemblait à ça ! Une chaîne maxi et colorée, c’était précurseur !

Le nom de la marque vient de mon nom de famille, Sylvie Boksenbaum. Je cherchais des idées, et un ami qui est brand manager a fait cette proposition qui m’a séduite.

 

Qu’est-ce qui t’a décidée à te lancer ?

Cela s’est déroulé en plusieurs étapes.

Tout d’abord c’est mon entourage qui m’a poussée et m’a donné la motivation de créer. Mes copines étaient folles de mes colliers, elles en voulaient toutes un ! J’ai donc commencé à varier les formes, les couleurs, j’organisais des ventes privées chez moi. Il m’arrivait de vendre des pièces dans la rue à des femmes qui s’arrêtaient à mon passage !
J’ai ensuite décidé de tester vraiment  le potentiel de mes créations en participant à un salon professionnel en 2014, Bijorhca. Ça a été l’argument décisif, beaucoup de journalistes et acheteurs ont eu un coup de coeur. J’ai du refuser les commandes car je n’avais pas du tout la capacité de production !
J’habitais à l’époque au Mexique, j’y ai donc crée mon atelier. J’ai formé des femmes au crochet, j’ai parcouru pendant des jours et des jours le « centro » pour y dénicher les pierres, fils etc… et nous nous sommes lancées! Nous sommes maintenant 10 à l’atelier, 7 couturières, 2 responsables commerciales et moi.

 

Quelles sont tes sources d’inspiration ?

Tout et n’importe quoi. J’adore la récup et chiner, certaines de mes pièces sont crochetées autour de porte-clefs ! Je m’inspire beaucoup de la mode aussi, j’ai une affinité avec les couleurs, les styles, les harmonies.
Mes voyages ont aussi influencés mes créations évidemment. J’étais très sensible à l’artisanat de rue et à l’inventivité de l’Afrique. J’étais émerveillée par la beauté des pierres fines au Brésil, qu’on trouve dans la nature si belles et si subtiles. Le Mexique est un pays baigné de soleil, de couleurs, d’énergie, très propice à la créativité. Toutes ces cultures sont concentrées dans mes colliers !

 

Quelles matières et couleurs privilégies-tu ?

Le coton, le lin,  la soie … le confort !

Et le couleurs … toutes ! C’est ça le travail le plus pointilleux. J’adore mélanger les matières, les formes, les tons. Il y a un long travail de recherche : La recherche des mélanges des perles, des fils, des pierres, des cotons. Puis la recherche des mélanges des cotons. On peut mélanger les fils à l infini : un doré avec un rafia avec un coton, et ensuite on mélange un noir avec un beige pour arriver à un ton plus gris, etc… Je passe des heures à trouver l’harmonie parfaite pour chaque anneau, pour chaque création.

A quelle type de femmes s’adressent tes créations ?

Pour moi le bijou est l’un des plus brillants espaces d’expression de la personnalité. Les miens s’adressent à des femmes élégantes, qui veulent un look différent et original.
Ce sont des pièces uniques, légères et confortables, qui peuvent être portées tout le temps, pour différentes occasions. J’aime l’idée d’accessoriser un look très casual : un jean, un t-shirt blanc, et un beau collier ! Ou bien pour sublimer une tenue habillée.
Avoir un collier boks&baum apporte une personnalité au style, c’est un bel accessoire de mode, un accessoire de Haute Couture.
Où peut-on se procurer tes bijoux ?

Toutes mes créations sont disponible sur notre site internet : www.boksandbaum.com, et également à mon showroom parisien. (sur rendez-vous par email : sylvie@boksandbaum.com)

Quels sont tes projets à court et moyen terme ?

J’ai toujours des milliers de projets en tête. Je me surprends souvent à penser « quand je serai grande, je ferai ça…. » et je crois qu’à 100 ans je serai encore en train de créer !

A court terme, nous travaillons dur pour développer la marque dans le monde, trouver des nouveaux points de vente, nous faire connaître ! Je suis également en train de travailler sur une collection capsule SWAROVSKI.
A moyen terme je rêve de développer le parfum de la Maison boks&baum, j’en connais déjà le nom et le packaging !
Et évidemment, ouvrir la boutique de la Maison boks&baum, à Paris.

 

As-tu une anecdote un peu folle à raconter autour de tes bijoux ?

J’étais à la soirée d’anniversaire des 120 ans de Swarovski à Paris et je portais le modèle Antoinette, notre pièce phare. J’ai vu une belle femme blonde traverser la salle et se diriger vers moi, entourée et suivie par beaucoup de monde, c’était Nadja Swarovski ! Elle m’a demandé d’où venait mon collier, et a dit à la directrice de l’atelier Swarovski que nous devions absolument travailler ensemble ! Elle a adoré !!

C’est de la même manière que j’ai rencontré Barbara Berger. Ce sont des femmes expertes en la matière, qui ont l’œil pour remarquer le beau travail et les créations atypiques !

Aimes-tu créer en musique ? Quels groupes écoutes-tu ?

Oui j’adore et j’en ai besoin, le crochet est un travail minutieux et long ! Mes goûts en musique sont très hétéroclites, j’aime aussi bien écouter Mozart et Gainsbourg que Ray Charles et Beyoncé ! Et les séries m’accompagnent beaucoup quand je travaille également, à condition qu’elles ne soient pas trop prenantes, sinon je perds en efficacité !

Un grand merci et à bientôt !!!

~ Un look d’hiver avec une création Dominica Carla Gioia ~

~ Un look d’hiver avec une création Dominica Carla Gioia ~

Pour ceux et celles qui me suivent, vous devez connaître mon goût pour les jeunes créateurs (que ce soit pour les bijoux ou les vêtements). Ce qui est un peu triste, c’est que pas mal que j’ai rencontrés ont arrêté entretemps (je me rends compte à quel point c’est difficile de se lancer, de se démarquer et de survivre dans la durée…). Ainsi, je n’ai jamais retrouvé les superbes manteaux kimono de Christine Nietche… Et en cherchant Dominica Carla Gioia, la créatrice de ce joli top, j’ai l’impression qu’elle ne vend plus… Enfin, je vous présente quand même ces pièces, avec un brin de nostalgie.

J’ai craqué pour la coupe de ce top, sa joli poche en fausse fourrure et son snood assorti.

~ Manteau Kimono de Christine Nietche ~

~ Manteau Kimono de Christine Nietche ~

Ah, ce manteau, un vrai coup de cœur ! Pourtant, le nombre de fois où je l’ai porté se compte sur les doigts d’une main je pense. Il fait partie de ces pièces que je « collectionne » presque et que je n’ose sortir trop souvent.

La talentueuse créatrice, Christine Nietche, rencontrée dans un salon de créateurs il y a plusieurs années maintenant, a sans doute arrêté de produire car impossible de trouver un site web, un Facebook ou la moindre actualité récente. Les dernières photos trouvées datent de 2008. Quel dommage !

J’aurais voulu rendre hommage à cette pièce de collection en shootant dans une forêt enneigée… Mais je n’avais pas ça sous la main, alors tant pis, c’est chez moi, devant mon canapé, que j’essaierai de vous faire rêver quand même. Promis, si je trouve un décor plus approprié, je ferai une nouvelle séance. Ce manteau porte un nom, je n’ai jamais su si c’était le nom de cette pièce en particulier ou de la collection : « Matières d’histoire ». Poétique non ?

Tous les détails sont superbes, les coutures, les tissus, les galons, la peinture faite à la main par la créatrice, etc. Après, c’est sûr, c’est une pièce forte, il faut assumer.

~ Interview Clara Jasmine, créatrice de bijoux ~

~ Interview Clara Jasmine, créatrice de bijoux ~

Lors d’un salon de créateurs, découvert au hasard d’une balade rue Charlot, j’ai complètement craqué sur les créations de la talentueuse Clara Jasmine (cf. cet article).
Ayant gardé contact avec elle, j’ai eu la chance de la rencontrer à nouveau pour cette interview, d’abord autour d’un thé (et de délicieux cookies) chez Caramelle, puis dans son atelier… Résultat de cette jolie rencontre…

Bonjour Clara,

Merci beaucoup d’avoir accepté cette interview et également de nous ouvrir la porte de ton atelier.

Parle-nous un peu de ton parcours.
J’ai eu des expériences assez variées avant de me lancer dans ce métier. Grâce à un Fongecif, j’ai suivi une formation de styliste modéliste, ce qui était mon rêve depuis longtemps, à l’école Esmod. Suite à cette formation, j’ai fait plusieurs stages dont 3 mois aux Etats-Unis à San Francisco où j’ai travaillé avec un photographe. Je pense que cela m’a beaucoup appris et m’a ouvert l’esprit, une sorte de libération créatrice. J’ai fait d’autres stages plus axés sur le vêtement, la couture (ce qui m’a permis de débuter avec des créations de bijoux utilisant des chutes de foulards en soie anciens).

Parle-nous maintenant de tes créations et de ta marque « Clara Jasmine »
Depuis combien de temps crées-tu des bijoux ?
Au début, je faisais des bijoux pour moi ou pour des copines. J’étais déjà attirée par la dentelle qui restera par la suite un des produits phares à la base de ma collection actuelle.
Je cherchais à l’époque comment faire fusionner le métal et la dentelle et j’ai suivi des cours de gravure dans ce sens. Cela  m’a permis de développer un savoir faire et d’affiner mon travail autour de la dentelle. Cela fait maintenant un an que Clara Jasmine existe. Quant à ma marque, il s’agit tout simplement de mon nom.

Qu’est-ce qui t’a poussée à te lancer ?
La première chose, c’est de savoir ce qu’on veut. Personnellement, je ne me sens vivre que quand je crée. Ainsi, me lancer était finalement devenu une évidence.
Suite à mes différents stages, j’ai décidé de ne pas démarrer dans le vêtement pour commencer, il s’agit d’un domaine plus contraignant que le bijou car la mise en place est plus lourde et complexe. Je pense néanmoins que je reviendrai au vêtement plus tard, plutôt sur des basiques qui s’accorderaient à mes bijoux. Aujourd’hui, je continue de créer mes propres vêtements pour moi ou pour certaines occasions.

Par rapport au fait de se lancer en tant que créatrice indépendante, le principal avantage est qu’on peut être soi-même, sans patron, libre de créer. De plus, en avançant dans le métier, je trouve que j’ai toujours rencontré une bonne ambiance générale que ce soit avec mes fournisseurs, les organisateurs de salons, etc. J’apprends sur le tas, il est important de savoir s’entourer. Ainsi, je fais partie d’une pépinière d’entreprise qui m’aide sur les aspects création d’entreprise, me fournit des comptables, un N° Siret pour facturer, etc. En revanche, sur l’aspect commercial, je gère tout moi-même et songe à embaucher une stagiaire pour développer ces aspects.

Quelles matières, quelles couleurs privilégies-tu ?
Comme je le disais, la dentelle est un élément central dans mes créations actuelles. Je suis constamment à la recherche de dentelles anciennes faites à la main que je chine par ci par là. C’est également un clin d’œil à la lingerie qui donne une image de la femme subtile et sensuelle.

Pour la gravure, j’utilise du cuivre que je retravaille et fait plaquer en 4 couleurs: argent, argent vieilli, vieux cuivre, et noir mat.

Enfin, pour les touches de couleurs, j’utilise des plumes  également chinées, naturelles (de faisan doré par exemple) ou peintes.

Quelles sont tes sources d’inspiration ?
Mon travail est inspiré de l’ouvrage des anciennes dentellières auquel j’apporte ma touche personnel par le mélange des matériaux. C’est la fusion du métal et de la dentelle qui donne au bijou son côté à la fois solide et délicat, brut et raffiné, ancien et moderne.

J’ajouterais cependant que c’est aussi en faisant que les idées viennent. Je crée à l’instinct. Sinon, j’ai toujours sur moi un carnet et un crayon car l’inspiration peut surgir à n’importe quel moment de la journée, par des petites choses de la vie quotidienne parfois. Après, il faut laisser le temps de mûrir…

A qui s’adressent tes créations ?
Je souhaite que chaque femme puisse se trouver dans un de mes bijoux. Tous n’ont pas vocation à plaire à tout le monde. Mais je souhaite avoir un éventail de choix qui permet à chacun(e) de trouver ce qui va lui correspondre, qui va en fin de compte révéler son identité. Mes créations ne sont pas liées à une mode, une saison particulière. Je souhaite qu’elles soient intemporelles.
Mais c’est aussi ma vision de la féminité que je donne à travers mes collections pour une femme tour à tour raffinée, glamour, audacieuse, rock, ou bohème.

Quels sont tes projets d’avenir ?
Toujours avancer, pas à pas, chaque chose en son temps…

A plus court terme, je tiendrai plusieurs salons en février alors n’hésitez pas à passer m’y retrouver :
–    « Take me out », Espace des Blancs Manteaux, 48 rue Vieille du Temple 75004 du 10 au 12 février
–    « Boutique éphémère », Viaduc des Arts, 57 avenue Daumesnil du 7 au 12 février

As-tu des points de vente ? Où peut-on acheter tes créations ?
J’ai plusieurs points de vente pour le moment à Paris et Tokyo et bientôt Rome, une acheteuse m’ayant fait une première commande pour sa boutique Materie :
–    Simonne et Lisa B, 19 rue de Poitou, 75003 Paris http://www.simonneetlisab.com/
–    Camille et Margot, 49 rue Rochechouart, 75009 Paris
–    Leah K, Tokyo
–    Styliste At Work, 2 rue de l’arbalète, 75005 Paris
–    My Philosophy, 55 rue d’Orsel, 75018 Paris

Sinon, je fais également des salons de créateurs ou des ventes privées.
Mon site Internet est en refonte et je songe à ouvrir un e-shop.

Pour finir, peux-tu partager avec nous :
Un bon plan resto ou de bonnes adresses sur Paris ?
–    « Krung Thep », un restaurant thaïlandais, 93 Rue Julien Lacroix, 75020 Paris ‎
–    Le salon de thé « Caramelle », 6 rue de l’arbalète 75005 Paris

Un groupe que tu écoutes en ce moment ?
J’ai des goûts très éclectiques alors c’est difficile de ne citer que quelques noms.
J’aime beaucoup Tiken Jah fakoly, Buena Vista, Grandmaster Flash, NTM, The Doors , Kery James, Ray Charles, Gainsbourg, Pixies, Lenny Kravitz, Nas, Django Reinhardt, Oumou Sangaré, Oxmo Puccino, Blood Orange, Radiohead…

Pour conclure cet article, voici quelques photos de son atelier. Je souhaitais initialement poser des questions plus précises à Clara sur son processus et ses techniques de travail (qui je dois avouer m’intriguaient profondément) mais finalement, je me suis ravisée. Il est plus intéressant de laisse planer un certain mystère autour de ses créations et de se laisser porter par le rêve…

Jetons juste un œil sur sa table de travail et repartons en silence sur la pointe des pieds pour ne pas la déranger…

Merci encore Clara et à très bientôt !